Levée de fonds de 1,5 milliard de dollars au profit de la start-up Anduril
Anduril voit sa valorisation bondir
C’estle premier effet notable depuis l’annonce de son augmentation de financement : la start-up américaine Anduril est désormais valorisée à 8,48 milliards de dollars, soit quasiment le double de sa précédente évaluation réalisée en juin dernier. Une très bonne nouvelle pour cette société américaine spécialisée dans les systèmes de drones militaires et l’Intelligence artificielle.
Cet apport financier de 1,48 milliard de dollars s’inscrit dans le cadre de la « Série E », laquelle traduit un niveau d’investissement élevé pour une start-up.
Parle biais de son co-fondateur Palmer Luckey, Anduril veut mettre l’accent sur le développement de solutions de défense autonomes plus performantes, mais aussi améliorer ses systèmes actuels, notamment les drones furtifs, les logiciels IA et les tours de contrôle.
Quoiqu’il en soit, cette levée de fonds ouvre des opportunités encore plus prometteuses pour Anduril tout en lui conférant un avantage stratégique sur le marché. En février dernier, Anduril avait déjà fait l’acquisition de Dive Technologies, une entreprise pionnière dans la fabrication de véhicules sous-marins autonomes.
Lancer sa start-up : comment bien s’y prendre ?
À l’instar de nombreuses autres start-ups, la levée de fonds constitue un bon moyen de démarrer, puis de développer son activité. Sous le statut d’auto-entrepreneur, la création d’une start-up présente des avantages à différents niveaux.
D’une part, le régime micro-entrepreneur permet de se libérer des contraintes administratives inhérentes à la création d’entreprises : une simple déclaration d’activité auprès de la chambre de commerce et d’industrie de sa région suffit généralement à donner une existence légale à sa start-up.
D’autre part, le mode de fonctionnement de ce régime est particulièrement souple :l’auto-entrepreneur n’est pas assujetti à la TVA ni tenu d’établir des comptes annuels. Il lui est seulement demandé de détenir un registre des achats ou un livre des recettes.
Anduril voit sa valorisation bondir
C’est le premier effet notable depuis l’annonce de son augmentation de financement : la start-up américaine Anduril est désormais valorisée à 8,48 milliards de dollars, soit quasiment le double de sa précédente évaluation réalisée en juin dernier. Une très bonne nouvelle pour cette société américaine spécialisée dans les systèmes de drones militaires et l’Intelligence artificielle.
Cet apport financier de 1,48 milliard de dollars s’inscrit dans le cadre de la « Série E », laquelle traduit un niveau d’investissement élevé pour une start-up.
Par le biais de son co-fondateur Palmer Luckey, Anduril veut mettre l’accent sur le développement de solutions de défense autonomes plus performantes, mais aussi améliorer ses systèmes actuels, notamment les drones furtifs, les logiciels IA et les tours de contrôle.
Quoi qu’il en soit, cette levée de fonds ouvre des opportunités encore plus prometteuses pour Anduril tout en lui conférant un avantage stratégique sur le marché. En février dernier, Anduril avait déjà fait l’acquisition de Dive Technologies, une entreprise pionnière dans la fabrication de véhicules sous-marins autonomes.
Lancer sa start-up : comment bien s’y prendre ?
À l’instar de nombreuses autres start-ups, la levée de fonds constitue un bon moyen de démarrer, puis de développer son activité. Sous le statut d’auto-entrepreneur, la création d’une start-up présente des avantages à différents niveaux.
D’une part, le régime micro-entrepreneur permet de se libérer des contraintes administratives inhérentes à la création d’entreprises : une simple déclaration d’activité auprès de la chambre de commerce et d’industrie de sa région suffit généralement à donner une existence légale à sa start-up.
D’autre part, le mode de fonctionnement de ce régime est particulièrement souple : l’auto-entrepreneur n’est pas assujetti à la TVA ni tenu d’établir des comptes annuels. Il lui est seulement demandé de détenir un registre des achats ou un livre des recettes.
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